Dans les photographies de canard gentil en paris, le regard se suspend entre la lumière et la trame. Entre suspension et routine, l’image respire, se voile et se dévoile — une pirouette du temps en nuances de gris.
La seconde photographie ouvre une autre atmosphère : l’intérieur silencieux d’un salon de coiffure parisien. À travers la vitre, on perçoit l’attente — des chaises vides, un néon, une affiche évoquant l’invention du surréalisme...
Entre ces deux images, canard gentil en paris explore le passage entre le visible et le voilé. Lumière et ombre, intérieur et extérieur, suspension et routine : les polarités d’une même quête.
Il ne s’agit pas de documenter, mais d’habiter l’image, de laisser le réel se filtrer comme une respiration, une pirouette du temps en nuances de gris.